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  • Devinette : connaissez-vous bien les clochetons du quartier ?

    Jouons un peu... Il faut avoir l'oeil et le bon. Vous êtes passé sans doute de nombreuses fois devant ce petit clocher, que l'on découvre en perspective dans l'enfilade d'une rue assez dégagée. C'est à cinq minutes du carrefour Barbès, à pied. Petit clocher, vite dit, je ne sais pas bien s'il s'agit d'un toit de clocher. C'est peut-être plutôt le toit en dôme d'une des chapelles du déambulatoire de l'église... On est là derrière le choeur. Dit-on chapelle rayonnante ? Vous le préciserez si vous êtes expert !

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    Le ciel, le jour de la photo, était de la couleur des toits de cette église, des gris d'ardoise, des gris d'étain et de zinc. Un très bel effet sur place !

    Ce n'est pas bien difficile. Toutefois, à cinq minutes de Barbès se trouvent plusieurs bâtiments religieux. 

  • Nouveau jardin solidaire dans le 18e

    Une communication sympathique de la Coordination Toxicomanies nous parvient, alors que ce petit jardin nous avait échappé (nous avouons !)

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    Nous sommes heureux de vous annoncer que depuis mars 2012 s’est ouvert un jardin solidaire sur le territoire de la Goutte d’or :

    Le jardin Noëlle Savignat, au 24 rue Cavé. Il est ouvert les mardis et jeudis de 14h30 à 16h30.

    Le jardin solidaire porté par l’association Aurore-EGO en collaboration avec la Coordination Toxicomanies, offre un lieu de rencontre entre différents publics qui cohabitent sur le quartier de la Goutte d’Or au milieu d’une enclave de verdure.

    Le principe est simple, il est ouvert à tous, on peut y venir jardiner, lire, discuter, jouer, proposer un atelier ou ne rien faire du tout.

    Vous pouvez consulter son actualité sur le blog : jardinego.blogspot.fr  ou pour plus d’informations nous contacter au 01 53 28 77 89/08 89 ou par mail : rosier.johanne@coordtox.org

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    paris,barbès,goutte-d-or,jardin-solidaireCet emplacement (ci-contre), le 24 rue Cavé, était celui d'un petit immeuble d'un seul étage en mauvais état. Sa destruction a fait l'objet d'un mécontentement profond de certains riverains de la rue Cavé qui s'exprime dans un blog, comme à propos d'autres destructions d'habitats dits insalubres. Nous comprenons parfois l'insatisfaction de certains de voir disparaître la trace d'un quartier populaire où subsistaient encore de rares petites bâtisses. Toutefois, l'urgence de loger des citoyens demandeurs d'un logement social ou non doit être considérée. 

    (Merci à Google qui ne renouvelle pas très rapidement ses images..)

  • Barbès-Rochechouart sous les coups

    Vous avez été plusieurs à nous adresser un lien vers l'article du Parisien qui relatait les échaufourrés du jeudi 2 août devant la station de métro Barbès-Rochechouart. 

    Pour ceux qui n'auraient pas suivi, de quoi s'agit-il ? D'une banale interpellation vers 20 heures de deux individus suspectés d'avoir volé un mobile dans le métro, qui a dégénéré en affrontement entre les forces de l'ordre appelées en renfort et les groupes de vendeurs à la sauvette, "établis sur le terrain" et d'autres individus "si affinités"... Une précédente affaire similaire avait tourné au drame et un policier avait reçu plusieurs coups de couteau avant d'être transféré à l'hôpital. 

    Les policiers de la DSPAP (Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne) étaient-ils conscients que leur tentative d'interpellation allait se dérouler en milieu hostile ? Pas sûr. On n'approchait de l'heure de rupture du jeûne du ramadan, et plus qu'à tout heure, les abords de la station étaient noirs de monde. Les policiers du quartier, rompus aux conditions particulières du maintien de l'ordre dans le quartier, ne s'opposent pas frontalement à des activités, même illicites, quand ils sont en effectif réduit. C'est même ce qu'on leur reproche parfois ici, car la trop grande tolérance face aux incivilités – sans aller jusqu'aux délits – crée un climat de zone de non droit, au moins de laisser-faire.

    En revanche, l'action de la brigade locale affectée aux abords de la station de métro les jours de marché a réussi très correctement à maintenir le libre accès aux sorties et entrées de la station, de même que l'accès au marché. Bien sûr, les marchands non-autorisés et biffins attendent la fin des horaires de service de la brigade pour s'installer. On observe depuis le début de l'été une large activité de vente d'articles variés, à même le sol, relativement peu de marchandises périssables (qui nous avaient inquiétées pour les risques sanitaires que couraient les acheteurs) sous le viaduc après le passage de la propreté de Paris en fin de marché, et parfois jusqu'à tard le soir. 

    Depuis ces événements, nous avons lu dans la presse qui s'en est largement fait l'écho, une déclaration de Manuel Valls, minsitre de l'intérieur, que quinze zones de sécurité, dont le 18e arrondissement de Paris, allaient faire l'objet d'un renforcement des personnels de police et de mesures appropriées. La citation qui revient en boucle dans les journaux est celle-ci : L'idée, c'est de mettre le paquet là où il faut, pour ce qu'il faut, avec souplesse, adaptation. 

    On ne pouvait pas dire mieux ! Maintenant il reste à le faire !

    BFM TV

  • Toquez...

    Toquez... on répondra seulement si vous nous écrivez !

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    Le blog se repose....