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nigéria

  • Exposition éphémère " Bring Back Our Girls" place de la République

    L'actualité internationale n'est pas réjouissante. Conflit israélo-palestinien - avec des dérapages et des violences lors des manifestations interdites que les habitants de Barbès n'ont pu manquer de voir le samedi 19 juillet -, situation explosive en Libye, situation instable en Ukraine... Pour autant, il ne faut pas oublier les 220 jeunes filles nigérianes séquestrées par des combattants islamistes de Boko Haram.  C'est l'objet de l'exposition éphémère "Bring Back Our Girls" qui est installée pour un mois place de la République, lieu symbolique bien choisi.

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           Chaque silhouette comporte le prénom d'une jeune fille enlevée.

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    L'inauguration a eu lieu hier après-midi en présence notamment de Valérie Trierweiler, Anne Hidalgo, le maire du 10e, Rémi Féraud, et Jean-Luc Romero. Quelques associations féministes étaient présentes.

  • Un résultat spectaculaire dans la Zone de Sécurité Prioritaire Barbès Château Rouge

    Nous vous transmettons, sans changer une virgule, le communiqué de la Préfecture de police qui est apparu ce mercredi à 9h sur nos écrans. Il illustre les efforts que font la police et les enquêteurs de la police judiciaire depuis quelques mois dans le cadre du dispositif de sécurité prioritaire. 

    "Démantèlement d'un réseau présumé de proxénétisme nigérian à Paris

    Daniel VAILLANT, Maire du 18e, Député de Paris, et Myriam El KHOMRI, Adjointe au Maire de Paris chargée de la prévention et de la sécurité ont été informés, de source judiciaire,  du démantèlement d’un réseau de proxénètes présumés à Paris avec l'interpellation de sept personnes soupçonnées d'organiser la prostitution de femmes nigérianes dans toute la France.

     

    L'enquête ouverte en octobre 2011 a permis l'arrestation de cinq hommes et deux femmes, l'un des hommes étant soupçonné d'être la tête de ce réseau organisé depuis le XVIIIe arrondissement de Paris et qui lui permettait de récupérer 90.000 euros par mois, a-t-on précisé.

     

    Cet homme était basé boulevard Barbès, où il recevait les femmes que sa compagne recrutait au Nigeria pour les contraindre à se prostituer dans toute la France, selon cette source.

    Parmi les cinq autres personnes interpellées figure la soeur du chef présumé de ce réseau de proxénétisme et son conjoint, ainsi que trois autres proches de l'organisateur.

    Ces sept personnes étaient présentées vendredi à un juge d'instruction en vue d'une mise en examen dans cette enquête ouverte pour "traite des être humains" et "proxénétisme aggravé". Le parquet a requis le placement en détention provisoire de ces sept personnes.