Pas d'article aujourd'hui pour cause de meeting !
Actualité - Page 110
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15 avril, grand meeting....
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Lundi de Pâques...
On est resté à la campagne..
Il y avait encore des oeufs cachés entre les brins d'herbe.
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Au revoir Arsène...
Au revoir, Arsène
Il n'est pas dans nos habitudes de dire au revoir à l'un des habitants de notre quartier. Mais une fois n'étant pas coutume nous n'hésitons pas à le faire.
Pourquoi ? vous demanderez-vous, Arsène plutôt qu'un(e) autre.
Tout simplement parce que Arsène, artisan-cordonnier, dont la boutique est au 40 rue de Dunkerque, apprécié de tous, était et restera une figure de ce quartier. Malade depuis un certain temps, il continuait à recevoir des visites dans l'arrière-boutique de son échoppe, où il s'est éteint il y a peu de jours.
Né à Istanbul en 1920, il arrive à Paris en 1954. Il s'installe d'abord dans le vingtième arrondissement puis dans notre quartier dès 1968.
Pour ceux qui voudraient en savoir un peu plus sur Arsène et son parcours et aussi sur la vie de ce quartier, il suffit d'aller à la Mairie du neuvième arrondissement, demander le guide "Trudaine-Rochechouart dans tous ses éclats", réalisé sous les auspices de cette même mairie, et offert à tout habitant de cet arrondissement.
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Journée internationale de lutte contre le racisme
La mairie du 18e nous informe :
Ce soir 21 mars 2012 / 14 h - 18h30 / Mairie du 18e
Avec les élus en charge des droits de l’homme et de la lutte contre les discriminations, de l’égalité femmes hommes, de l’intégration, de la politique de la Ville, de la prévention et de la sécurité et de la vie étudiante, la Mairie de Paris organise la 3e édition du FORUM VIVRE ENSEMBLE.
Il permet aux acteurs qui font vivre au quotidien la promotion de la citoyenneté et du vivre ensemble auprès des jeunes parisiens de se réunir dans un lieu symbolique fort.
Des rencontres de 13h à 18h mercredi 21 mars à la Mairie du 18e, et sur place projection de « Ma Poubelle Géante » à 17h.

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Toute comparaison n'est pas interdite...
Nous sommes entrés très sérieusement en campagne, personne ne peut désormais l'ignorer. Toutefois, sur ce blog, nous nous efforçons de ne pas traiter sous l'angle politique les problèmes et les événements que nous relatons. C'est pourquoi nous prenons de la distance et avons choisi de vous proposer une vidéo - qui a eu un succès non négligeable, quelque 275 000 personnes l'ont déjà vue - qui traite de la crise, celle dont on nous parle dans les médias, avec la dette, les taxes, les impôts supplémentaires, les fuites fiscales, la répartition inégale de la pression fiscale, la redistribution défaillante des richesses grâce à l'impôt, etc.
Nous avons aussi choisi l'exotisme. Mais pas les Seychelles, non, la Belgique. Ainsi nous sommes à l'étranger : nous respectons donc une certaine distance avec les faits et les habitudes françaises. Pourtant, chacun pourra repérer des coutumes qui ne sont pas totalement étrangères aux Français. Les astuces légales pour échapper à l'impôt, les "niches" fiscales dont le nombre n'a cessé de croître au fil du temps, les grands du CAC 40 qui échappent à l'impôt sur les sociétés malgré des profits impressionnants (à l'heure de l'essence chère, se souvenir de Total et de son PDG, Christophe de Margerie, qui a finalement annoncé qu'il renoncerait au bénéfice mondial consolidé... à la suite de l'annonce dans la presse l'année dernière que son groupe ne payait pas d'impôt sur les sociétés en France.)
La vidéo dure 15 minutes, elle est en français et en flamand, sous-titré, - toujours pour l'exotisme - elle met en scène des journalistes, des professeurs d'université, un fonctionnaire du ministère des finances belge qui enquête... Elle est réalisée dans le cadre d'une campagne de sensibilisation en faveur d'une plus juste fiscalité et s'intitule dans le texte "De Fortuinjagers", un clin d'oeil au "Ghostbusters" des années 1980.
Elle a été diffusée sur le blog de Paul Jorion en novembre dernier.
Ne cherchez pas un rapport direct avec Barbès, ou alors peut-être une façon différence de s'interroger sur les misères qui s'invitent dans nos rues, sur nos marchés, dans nos transports en commun.