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Rechercher : charte silence on fête

  • Vie associative

    La Maison des Associations du 9ème est ouverte depuis avril 2006. En mai 2007, Jérôme Jegou en a pris la direction après avoir passé 9 ans à la Maire du 3ème arrondissement où il a travaillé au service culture, évènements et communication. C’est un choix personnel qui l’a amené dans le 9ème. Déjà en contact avec le milieu associatif pour la réalisation de projets culturels dans le 3ème, Jérôme Jegou ne pouvait pas passer à côté du projet Maison des Associations tel qu’il se développe à Paris et s’impliquer encore plus dans le processus.

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    Paris Neuvième (PN) : une des priorités déclarée lors de l’ouverture de la Maison des Associations du 9ème était la mise en réseau des associations de l’arrondissement, qu’elles se connaissent mieux. Où en est-on ?

    Jérôme Jegou (JJ) : aujourd’hui la Maison des Associations du 9ème compte 100 inscrits contre 60 lorsque je suis arrivé en Mai. Le réseau prend petit à petit. Je souhaiterais, à partir de 2008, monter des rencontres thématiques inter-associatives (l’emploi, le sport, la culture, l’économie sociale, etc. ….). Le but est certes de créer un réseau dans le 9ème arrondissement mais encore faut il qu’il y est des associations inscrites à la Maison des Associations. Avant de créer un réseau, il faut avoir des inscrits. Ce que je veux, c’est faire connaître l’établissement et que ce lieu soit incontournable, que toutes les associations du 9ème se disent « notre référent, c’est la Maison des Associations ».

    Sur les 40 nouveaux inscrits depuis mon arrivée ici, 20% sont de nouvelles associations que nous trouvons chaque mois sur le Journal Officiel. Le reste, ce sont des associations existantes qui nous ont rejoints. Nous travaillons aujourd’hui sur un fichier de 400 associations dans le 9ème. Le but est qu’un maximum de ces associations nous rejoigne, qu’elles s’inscrivent à la Maison des Associations.

    PN : une deuxième priorité était l’information sur l’environnement du monde associatif, les assurances, les questions juridiques, etc. …

    JJ : Nous avons monté un cycle de formation « les 9 formations de la MDA9 », un rendez vous mensuel le dernier jeudi de chaque mois de septembre à juin. On fera cela chaque année et les thèmes abordés tiendront compte de la demande. Pour débuter, certains thèmes ont été imposés, d’autres viennent d’une forte demande comme celui de la communication par exemple.

    PN : pourriez vous développer un peu l’idée des rencontres thématiques ?

    JJ : la chose n’est pas encore finalisée. L’idée est de faire un état des lieux, de voir la proportion des associations culturelles, de solidarité, etc. …. parmi les inscrits et de les faire se rencontrer par thème, l’international par exemple. Il s’agit d’échanger des bonnes pratiques mais aussi d’accueillir des intervenants extérieurs. Le plus avancé est aujourd’hui celui que nous appelons « ateliers coopératifs internationaux » qui concerne 15 associations du 9ème et que nous montons avec d’autres arrondissements. Nous voulons faire jouer la synergie avec les autres Maisons des Associations.

    PN : et d’autres projets ?

    JJ : oui beaucoup d’autres. Un projet plus festif, essayer de créer une fête annuelle des associations du 9ème pour qu’elles se rencontrent. Ce sera propre au 9ème.

    J’aimerais aussi développer les activités de « facilitateur » de la Maison des Associations dans le cadre de montage de projets. Quelque soit la nature du projet, nous pouvons être un relais incontestable, incontournable, un pont entre la Mairie et l’association : aide logistique, matérielle, ….

    PN : ce dernier point ne pose t-il pas la question de la coordination avec la Mairie à qui les associations s’adressent en général ?

    JJ : quand un nouvel équipement de proximité arrive dans un arrondissement, il y a de nouvelles habitudes à prendre. La Maison des Associations dépend de la Maire du 9ème, donc on travaille ensemble. Le but est maintenant, sous la responsabilité de l’adjointe au Maire chargée de la vie associative, de se tenir informés et de coordonner nos actions.

    PN : comment s’articule cette dépendance vis-à-vis de la Mairie du 9ème ? Et vis-à-vis de l’Hôtel de Ville ?

    JJ : c’est très simple. Les Maisons des Associations appartiennent à la Ville de Paris et sont rattachées administrativement à la Direction de la Décentralisation et de la Vie Associative. Pour le reste, monter les projets, développer la vie associative, être un acteur local, …. , c’est la Mairie d’arrondissement notre interlocuteur. Ca se passe très bien avec la Mairie du 9e qui mène une politique forte de soutien aux associations.

    PN : vous êtes d’accord avec l’affirmation souvent faite par le Maire de notre arrondissement suivant laquelle il y aurait un renouveau de la vie associative dans le 9ème ?

    JJ : oui et il y a des raisons à ce renouveau. Je viens d’un arrondissement – le 3ème – qui s’est ouvert depuis 1995 à la vie associative. Je sens un souffle nouveau comme je l’ai connu dans le 3ème qui a 6 ans d’avance sur le 9ème en la matière. De nouveaux réflexes ont été pris car les structures d’écoute, d’accueil, ont été créées. Avant 2001, cela ne se faisait pas par manque de structures, aujourd’hui cela se fait. Cela se vérifie aussi par des chiffres. 50 000 associations à Paris, 2300 associations dans le 9ème, 200 nouvelles créations chaque année, certes beaucoup ont disparu ou sont inactives mais notre arrondissement reste dans la fourchette haute pour le nombre de créations. La réussite du Forum des Associations version 2007 en est la preuve. Je ne sous-estime pas l’importance du beau temps ce samedi là mais il y a eu beaucoup de public, plus d’associations qu’en 2006, voilà des signes concrets.

    PN : avez-vous des objectifs chiffrés ?

    JJ : oui mais ils sont modestes, là n’est pas l’essentiel. Nous allons mener une enquête qualitative par voie téléphonique, nous ferons une synthèse de cela avec des recommandations, le tout sera remis au Maire de l’arrondissement. Sur le plan quantitatif, je m’étais engagé auprès du Maire à avoir 100 inscrits fin 2007, nous les avons déjà, peut être irons nous jusqu’à 120 ? Je ne suis pas dans une logique de chiffre. Je préfère de loin avoir 100 associations actives, présentes, impliquées que 250 dormantes. 60 inscrits en Mai était un peu juste, 100 aujourd’hui permet d’envisager des choses.

    PN : chaque arrondissement de Paris a maintenant sa Maison des Associations. Y a-t-il coordination ?

    JJ : oui la dernière Maison à ouvrir sera celle du 17ème le 1er novembre prochain. Nous avons des réunions régulières – une fois par semaine – au cours desquelles nous échangeons des informations. Nous avons des règles communes de fonctionnement et la mise en place de ces 20 équipements de proximité a été lourde, complexe. Cette phase de création est désormais terminée et nous allons passer au fonctionnement régulier, avoir un développement avec des projets, un réseau associatif parisien. Nous utilisons entre autres un réseau informatique – le COMMUN – dans lequel nous avons tous les fichiers en partage de toutes les Maisons des Associations de Paris.

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    Pour compléter l’information concernant les associations, retenons l’ouverture très récente du Carrefour des Associations Parisiennes. Installé dans l’ancienne gare de Reuilly, avenue Daumesnil dans le 12ème arrondissement, gare qui a été réhabilitée et aménagée de manière fonctionnelle mais avec soins, ce centre veut être un point « ressources » pour les associations parisiennes qui y trouveront informations et conseils dans le cadre de leur création, leur développement ou leur gestion courante. Il vient en complément des 20 Maisons des Associations et sera aussi un lieu d’échanges et de formation.

    Un sondage récent réalisé par CSA nous dit que 84% des français placent les associations loin devant les politiques et les syndicats pour représenter et défendre l’intérêt général. Bien sûr, on peut penser que l’image que les français ont du monde associatif ne correspond peut-être pas à la réalité des choses. Disons aussi que Bertrand Delanoë et son équipe ont bien compris le phénomène, en ont joué pour conquérir en 2001 la Mairie de Paris comme le rappelle assez justement un supplément du journal Libération paru samedi 20 octobre et consacré au phénomène associatif à Paris. Notons enfin que l’’effort de la Mairie de Paris concernant la vie associative dans la capitale a été réel pendant la mandature et que cela devrait jouer un rôle important lors des prochaines municipales. Sans dire que tout va bien dans le meilleur des mondes ……

  • Marché Saint-Quentin : des traiteurs de dernière minute et plus si affinités

    C'est une élue qui habite à deux pas qui nous a donné le tuyau. "Quand, parfois, je manque d'inspiration ou tout simplement de temps et qu'un couple d'amis s'annoncent un peu tardivement, je ne m'inquiète pas, je sais qu'au marché Saint Quentin, je pourrai trouver un beau poisson grillé, quelques acras pour l'apéritif, un joli plat de riz pour accompagner et je suis sauvée."

    C'est chez Hervé, qu'elle descend et qu'elle trouve son bonheur. Une boutique qui vous plongera dans l'ambiance instantanément. On peut aussi déjeuner sur place.

    chez Hervé,marché-saint-quentin

    Oh Africa ! le traiteur africain, entrée rue de Chabrol

     

    paris,10e,marché-saint-quentin,commerceHervé est installé depuis deux ans, oui, exactement deux ans puisqu'il a signé son bail en septembre 2011, pour une restauration rapide africaine, même afro-antillaise. Il a investi dans cet espace situé près de l'entrée du marché située rue de Chabrol et a modifié largement l'endroit, pour le rendre accueillant et chaleureux et tout de suite donner le ton. Sa motivation pour se lancer dans cette aventure à moins de trente ans ? le constat que la gastronomie africaine n'est pas bien représentée dans Paris, et son désir de la faire connaître de façon informelle et à des prix abordables. 

    Hervé nous a fait partager son plaisir à cuisiner. Il arrive très tôt le matin, fait ses courses rue Dejean (18e) et s'active dans sa cuisine, pour préparer les spécialités. Tout est frais et fait sur place. Il travaille seul et n'a donc pas de temps à perdre pour donner satisfaction à ses clients du midi. Ce sont pour beaucoup des employés qui travaillent dans les rues avoisinantes. Le coup de feu a lieu vers 13h, et le soir il vend davantage de plats "à emporter"... Il déplore par ailleurs que le marché soit certes bien connu dans le quartier mais que les visiteurs ne s'arrêtent souvent qu'aux premiers étalages, ceux qui sont le long des entrées du boulevard de Magenta. Il verrait avec un plaisir non dissimulé que le gestionnaire du marché organise des animations qui donnent plus de visibilité à l'ensemble des commerçants réunis sous cette belle halle. Peut-être même, y aurait-il place à un affichage extérieur plus motivant ? Quel touriste passant sur le boulevard de Magenta sait qu'à l'intérieur du marché il y a un espace avec des tables et des chaises, des traiteurs autour, et que, là, il peut déjeuner tranquillement ?

    paris,10e,marché-saint-quentin,commerce

    (cliquez sur la photo pour obtenir la page Facebook de Oh Africa!)

    Qu'il pourra même bénéficier de la Wifi pour lire ses mails avant le café... Hervé a pensé à tout. Il a même organisé une animation pour la dernière fête de la musique en juin. Il y avait un DJ, un orchestre, et plus de 150 personnes, de 17h à 21h, parce qu'il avait pu obtenir une dérogation exceptionnelle. Dommage que les horaires du marché imposent de fermer à 20h le reste du temps. C'est un peu tôt pour des traiteurs.

    paris,10e,marché-saint-quentin,commerceOn peut aussi en plein après midi s'arrêter pour boire un verre de jus de fleurs rouges d'hibiscus (bissap ou encore karkadé). Boisson rare, privilégiée lors de fêtes en Afrique, celle d'Hervé est peu sucrée, fraîche et donc désaltérante; elle est aussi réputée pour ses vertus pour la santé (troubles digestifs, hypertension etc.). Vous pouvez donc semble-t-il en boire sans modération. 

    Vous pouvez ne pas aimer le poisson... Le poulet y est aussi délicieux, préparé en Maffé (avec une sauce onctueuse à la pâte d'arachide), en Yassa (mariné au citron avec des oignons) ou encore du tiep. A vous de tenter l'aventure culinaire!



    paris,10e,marché-saint-quentin,commercePour continuer le voyage dans d'autres contrées, vous pouvez aussi faire alors quelques pas à gauche et respirez les arômes de l'orient, en admirant la vitrine réfrigérée du traiteur libanais.

    Il s'agit de Clément, installé dans le marché depuis 5 ans et affichant une enseigne classique sous le nom "Le Libanais". Il avait largement contribué à l'organisation du buffet, lors de l'inauguration de l'espace convivialité par le maire du 10e, Rémi Féraud, et quelques élus dont Lyne Cohen-Solal, adjointe au maire de Paris pour le Commerce, le 4 juillet dernier (voir notre article du 22 juillet dernier).

    Et comme chez Hervé, vous pouvez choisir de profiter de l'espace convivialité ou de déjeuner dans son espace, qui lui permet de servir jusqu'à 8 couverts. 


    paris,10e,marché-saint-quentin,commerceLe commerce voisin, à quelques pas de plus, est celui d'Hassan, le traiteur marocain avec son espace "Le Marrakech". Depuis 2 ans, il ravit ses clients par ses différents types de couscous, ses tagines variés et ses pastillas au poulet. Ses pâtisseries accompagnent le thé à la menthe fraîche qu'il sert toujours bien volontiers.

    Et toujours, quelques places dans un décor soigné aux couleurs du sud-marocain, pour accueillir les clients qui souhaitent profiter de ce petit refuge dans la grande halle Baltard de ce marché.

    Dans la catégorie des cuisines du monde, le marché compte aussi parmi les traiteurs un coin asiatique, dont les petites bouchées à la vapeur sont très soignées: leur présentation très esthétique les place plusieurs crans au dessus des traditionnels Dim Sum que l'on peut connaître dans certains restaurants asiatiques. Il y a également une tablée brésilienne, "Alegria Brasil", que nous n'avons pas eu le temps de tester et vous laissons le soin d'essayer.

     

    paris,10e,marché-saint-quentin,commercePour terminer ce voyage, nous revenons dans le sud de l'Europe, toujours en territoire lusophone, avec Silvana, présente depuis 8 ans dans le marché et devenue, par son dynamisme et sa capacité à dialoguer sympathiquement avec ses clients, l'un des piliers du marché Saint-Quentin.

    La cuisine lusitanienne de Silvana a par ailleurs déjà été remarquée cette année par le quotidien Le Monde ("De bonnes tables entre les étals parisiens", 7 avril 2013). Son espace traiteur/épicerie portugaise, proche du centre du marché et de sa fontaine, est très convivial et attire les personnes de passage comme des clients qui lui sont fidèles.

    On y trouve en effet un coin où l'on peut s'assoir, boire un verre de vin du Portugal (on ne va énumérer la longue liste des dénominations), déguster quelques tapas et ses spécialités, autour d'un comptoir, en la regardant, avec son mari, faire la cuisine ou virevolter habillement entre son épicerie attenante et cet espace convivial pour la restauration.

    Silvana a son franc-parler et met le doigt sur les éventuels axes d'amélioration pour le marché, avec son souci des clients et face à la concurrence de certains marchés. Elle connait bien le quartier pour y habiter. Elle regrette les problématiques de stationnement pour les livraisons côté rue de Chabrol, ce qui ne facilite pas la tâche des commerçants. 

    paris,10e,marché-saint-quentin,commerceAu menu, il ne faut pas rater ses beignets de morue (Pasteis de Bacalhau), le chevreau rôti en sauce (cabrito assado), les charcuteries (jambons fumés ou filets mignons de porc séchés), les viandes (travers, picanha, ou préparés en dés "a alentejana" avec des palourdes ou des coques), et les poissons (morues, sardines, calamars etc.).

    Sans oublier naturellement les pasteis de nata de Silvana, natures ou saupoudrés de canelle, le pudding et crème caramelle faite maison comme toutes les préparations. La table "Chez Silvana" est assurément l'un des points de passage du marché: c'est peut-être la raison pour laquelle nous y avons déjà vu quelques élus du 10e et de la Ville s'y donner rendez-vous pour taper la discute.

     

    Outre ces traiteurs spécialisés, le marché Saint-Quentin comprend également deux autres traiteurs. D'une part, Daniel Verin près de l'entrée donnant sur le coin du boulevard Magenta et de la rue des petits hôtels. D'autre part, Francis avec sa "Charcuterie du Marché", cette fois-ci à l'autre coin, à l'angle du boulevard Magenta et de la rue de Chabrol: cette charcuterie a récemment repris l'étal attenant, bien connu des gourmands: "L'Extra de l'Ordinairedu jeune patissier Kevin, qui vient de quitter le marché pour rejoindre le Val-d'Oise mais dont on peut, semble-t-il, encore y trouver les macarons et éclairs. 

    Le vaste Marché Saint-Quentin attire une clientèle variée, à l'image de ces nombreux commerces dont la diversité en font la richesse. Il faut donc y prendre son temps, ne pas se décourager par le caractère quelque peu magistral de sa grande halle, et arpenter les allées pour dénicher ces lieux.

  • NUIT BLANCHE 2011

     

    NUIT BLANCHE 2011

     Samedi 1er octobre (soirée et nuit)

    La Nuit Blanche parisienne passe cette année par le 9e arrondissement. En effet, Alexia Fabre et Franck Lamy (Musée MAC/VAL), directeurs artistiques de cette 10e édition, ont sélectionné deux secteurs pour le parcours officiel : le premier au centre de Paris, le deuxième plus au nord, cheminant des Batignolles à la Place d’Anvers en passant par Montmartre et la Nouvelle Athènes. Dans le 9e, les lycées Edgar-Quinet et Jacques-Decour, l’école ESMOD, l’Hôtel Amour et l’International Visual Theatre accueillent des œuvres du parcours officiel.

    D’autres lieux ont évidemment souhaité s’associer à cette grande fête de l’art contemporain à Paris, et ouvrent leurs portes au public en accueillant des œuvres. Nous avons répertorié les projets suivants dans les environs, facilement accessibles en se promenant :

    Secteur Trinité, un peu loin...

    Galerie VU' (58, rue Saint-Lazare, Hôtel Paul Delaroche) :   

                              « Travel plans » de Jeffrey Silverthorne (exposition photographique)

    ESMOD * (12, rue de la Rochefoucauld), près du musée Gustave Moreau :  

                              « Cut Papers # » de Sachiko Abé, (performance)

     

    Secteur Martyrs-Trudaine 9e, on se rapproche...

    Hôtel Amour * (8, rue de Navarin) :

                              « Flower bed » de Tsuneko Taniuichi (performance et projection vidéo)

    Gymnase Paul Gauguin (35, rue Milton) :                  

                              « Life on loop » de Jungwan Ba et Oan Kim (projection vidéo)

    Lycée Jacques Decour,  (12, avenue Trudaine) :   

                              « Black cloud » de Carlos Amorales (installation)


    64 - Carlos Amorales - Black Cloud, 2007 par mairiedeparis

    Et dans le théâtre du lycée Jean-Decour

                               « Black Rain », une installation vidéo de Semiconductor

     

    Lycée Edgar Quinet (63, rue des Martyrs), de 19h à 7h : 

                               « Dance (all night) » de Melanie Manchot (performance participative)

    Cité Malesherbes, en haut de la rue des Martyrs, de 20h à 4h

                               « Tempography » de Anthony Bannwart (projection vidéo)

     

    Secteur Pigalle-Blanche 9e  :

    International Visual Theatre * (7, cité Chaptal) :   

                               « The Landscape is changing » de Mircea Cantor (projection vidéo)

    Musée de la vie romantique (16, rue Chaptal), de 18h à 23h

                               « Paris – Proche et lointain » de Patrick Faigenbaum (exposition photographique)

    Maison des associations du 9e (54, rue Pigalle), de 19h à 7h 

                               « Montebello – Megachromia à Paris » de Arthème Galerie (exposition photographique)

    TEP Duperré (22, rue Duperré) :      

                               « Still life » de Jean-François Bouchard (projection vidéo)     

    Sur le terre-plein du métro Anvers 9e-18e 

                               « La concentration des services », installation de 19h à 7h

     

    Dans le 18e

    Place des Abbesses 18e :

    Sur la place des Abbesses, de 19h à 1h45

                               « Un trou dans la ville » de la Compagnie Dérézo

    Le bateau-lavoir 18e :

    8, rue Garreau, de 19h à 1h

                               « L'atelier du Bateau-Lavoir » réalisation d'une peinture en direct par François Boisrond

    Galerie W Eric Landau 18e :

    44, rue Lepic, de 19h à 7h

                               « Paris s'éveille » ou  « le réveil de la ville », de Jean-Christophe Choblet, Thierry Payet, Valérie Thomas, projection

    Rue Léon 18e :

    Dans la cour de l'Institut des cultures d'Islam, de 19h à 2h ; 19, rue Léon:

                               « Fire Flies, Fransesca » de Frédéric Nauczyciel

    Place de la Chapelle 18e :

    28-30  boulevard de la Chapelle,angle rue Philippe de Girard

                               « Le cercle vicieux Paris », installation de Jola Kudela Aka Yola

    ............ Et maintenant A VOUS DE CHERCHER ........

    Montmartre Anvers - Batignolles-Pigalle, La Nouvelle Athènes/Saint-Georges