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Dans le 9ème - Page 110

  • Conseil d’arrondissement

    Avant dernier Conseil d’arrondissement de cette mandature lundi dernier. Est-ce l’approche des élections, la fatigue de l’hiver ou le temps maussade, l’ambiance était légèrement différente des Conseils « ordinaires ».

    D’abord pas mal de public. Une petite trentaine de personnes contre 4 ou 5 à l’ordinaire change les choses. Présence d’observateurs du MoDem dans la salle.

    Dans le ton des délibérations entre Conseillers ensuite. Oh un rien, une petite nuance, mais un rappel ici que c’est grâce au Voeu déposé dès 2001 par tel parti que le dossier a été initié, que c’est grâce au travail constant de tel autre parti que tel projet voit enfin le jour, ….. ambiance ambiance, élection élection !

    Tout cela ne gêne en rien l’efficacité de notre Conseil d’arrondissement, toutes tendances politiques confondues, puisqu’il a « roulé » au rythme de 10 Délibérations à l’heure, ce qui est remarquable considérant l’importance des sujets traités.

    L’ordre du jour est sur le site de la Mairie.

    A retenir :

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  • Du côté des transports

    478fe66029650ca907e031ffa89d0b40.jpgSébastien a bien voulu nous envoyer les informations suivantes :

    « Je lis souvent votre blog et je pense que ces quelques informations concernant le renforcement des dessertes bus pourraient intéresser votre blog.

    > Renforcement de la ligne 68 (Chatillon Montrouge - place de Clichy) depuis le 8 novembre 2007. Cette ligne est désormais exploitée de bout en bout 7 jours sur 7 ainsi qu’en soirée jusqu’à 23h15. Le service du dimanche est étendu à toute la ligne, alors qu’il était actuellement limité au trajet Porte d’Orléans— Châtillon-Montrouge . Les intervalles vont de 13 à 20 minutes selon les heures. Autre amélioration notable, les derniers départs seront effectués plus tard le soir, à 22h30 de Châtillon — Montrouge au lieu de 20h45, et à 23h15 de Place de Clichy au lieu de 21h28. Ces horaires seront également valables le dimanche soir.

    > Ligne 67. A partir du 14 avril 2008, Extension du service jusqu’à 22h30 et création d’un service le dimanche sur tout l’itinéraire des lignes 67 et 88.

    > 3 décembre 2007: mise aux normes mobilien de la ligne de bus 80 »

     

    Remercions doublement Sébastien de son envoi car, outre ces infos utiles, il nous a permis de découvrir le site Métro-Pole, très bien fait, source de ces informations.

  • Retour sur les deux roues

    Le sujet a été abordé en début de mois et le collectif d’animation du quartier Trudaine Rochechouart se penche actuellement dessus. Une de ses membres nous a fait parvenir l’article suivant :

    a488aefdceab840016b8dc8232c81da9.jpg

    Des vélos et des motos partout !

    Cela ne vous aura pas échappé : les cycles, motorisés ou non, occupent l’espace à Paris ! Plus encore ces jours-ci à cause des perturbations dans les transports en commun. L’absence de bus et de métro a poussé le Parisien, même le moins sportif, a regardé de plus près ces bornes gris métallisé que l’on trouve un peu partout dans Paris depuis l’été. Il s’agit des Vélib’, bien sûr. Certains sont même allés fouiller dans la cave pour sortir la petite reine de leurs jeunes années. Car l’émulation, cela existe. Tout seul sur un vélo, en milieu de la circulation automobile moyenne de Paris, cela prend parfois les allures d’une aventure plus risquée que la traversée du Ténéré. Mais, quand on est dix, devant la première rangée de voitures, à attendre que le feu passe au vert, c’est différent. On se sent légitime ! On se sent plus fort.  Et en ce moment, plus astucieux même, en traversant le pont de la Concorde, sur la file de droite, alors que les automobilistes pestent derrière leur volant… sans avancer.

    Il y a toutefois un revers à cette médaille. Tous les cyclistes et tous les motards ne sont pas également respectueux du code de la route et leurs comportements s’échelonnent entre la délicatesse polie et courtoise (je vous en prie, mais passez-donc, Madame…) et la plus brutale sauvagerie (va donc, hé, « nom d’oiseau » !). Les passants s’en émeuvent plus que les automobilistes. Peut-être parce qu’ils se sentent plus fragiles sur leur trottoir, pris d’assaut par les moto- et cyclistes indélicats.

    Quoi qu’il en soit, les protestations fusent. Il n’est pas une réunion de conseil de quartier où l’on ne dénonce le comportement « intoooooolérable » des motos et des scooters, moins souvent des vélos, soyons honnêtes.

    Nous avons donc pensé au sein du collectif de Trudaine Rochechouart à mettre à l’ordre du jour de notre prochain conseil : le code de la rue.

    Qu’est-ce ? Direz-vous.

    Venez ! Vous le saurez !

    Non, je plaisante. Bien sûr, si vous venez, vous en saurez plus, car il faut bien préserver un peu de suspens.

    Quelques mots simplement ici, pour vous donner envie d’en savoir davantage.

     

    C’est l’observation des difficultés à partager l’espace public dans les zones urbaines qui est à l’origine de ce code de la rue, mis en application notamment en Belgique.

    C’est aussi le souci d’inverser les statistiques sur les accidents corporels, dont le nombre était très élevé chez nos voisins, il y a encore peu.

    Enfin, une communication intelligente de grande envergure pour entamer une modification durable du comportement des personnes qui utilisent l’espace public.

    Un principe de vulnérabilité est apparu qui définit des priorités différentes de celles du code de la route, élaboré, lui, pour permettre aux automobiles d’utiliser les voies carrossables selon un ordre cohérent, qui préviennent les accidents.

     

    Si ce sujet vous intéresse, des rapports de qualité sont en ligne.

    Voyez par exemple le rapport de Brigitte Le Brethon, députée Maire de Rouen : Propositions pour encourager le développement de la bicyclette en France.

    Des détails techniques sur les dispositifs en faveur d’un meilleur partage de l’espace public se trouvent sur le site du Club des Villes Cyclables à la rubrique Documentation>Les fiches CERTU/CLUB « Le vélo, un enjeu pour la ville ».

     

    Le conseil de quartier Trudaine Rochechouart se tiendra le 27 novembre 2007, dans l’école maternelle 68-70 rue de Rochechouart, à 19h30.
  • Ah, les deux roues !

    Voilà plusieurs mois déjà que la question des deux roues à Paris a émergé dans le débat public, notamment à cause de la multiplication des scooters et autres petits engins motorisés. Le lancement de Vélib’ en juillet et de ses 10 000 vélos qui seront bientôt 20 000 n’a fait qu’augmenter la pression qui a atteint son point culminant ces derniers jours avec, hélas, la troisième personne morte d’accident à Paris pour 2007. Beaucoup de blogs parisiens se sont emparés du sujet qui devient récurrent lors des Conseils de quartier de notre arrondissement. Le Maire de Paris lui-même a cru bon de donner son avis dans un communiqué de presse qui relève plus du justificatif de ses actions que de mesures qui, il est vrai, ne sont pas de son ressort mais de celui du Préfet de Police.

    Le 9ème est particulièrement touché par le phénomène et sans doute faut-il regarder la question en deux volets.

    Le premier volet est clairement celui de la sécurité, c'est-à-dire du respect du code de la route par les deux roues. Quoiqu’on en dise, ce ne sont pas les vélos les plus dangereux en la matière. Certes, descendre la rue des Martyrs à contre sens comme on le voit chaque jour est interdit mais que dire de ces scooters lancés à fond sur les trottoirs des grands boulevards ou bien dans les couloirs réservés au bus, là où on ne les attend pas. Paradoxalement, les récents travaux d’élargissement des trottoirs ne fait qu’accentuer le problème. L’espèce d’acharnement que met actuellement la police a verbalisé les cyclistes est hors de proportion avec la gravité des infractions commises par les scooters, sans compter les nuisances sonores et écologiques que ceux-ci génèrent.

    Le second volet relève du partage de l’espace commun. Un rapide coup d’oeil place Turgot, sur les trottoirs du boulevard Hausmann ou rue de Châteaudun près de la Trinité suffit à comprendre l’ampleur du problème. Il n’est pas jusqu’au moindre poteau de signalisation ou de la plus petite barrière qui ne soit envahi par des deux roues en stationnement, solidement accrochés, souvent en travers et obstruant le passage des trottoirs. Sans compter les épaves !

    Voici quelques photos prises par notre envoyée spéciale au Nord-Est de l'arrondissement.

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    Dénoncer ces situations est certes utile mais ne donne pas de solutions. L’adoption d’un « Code de la Rue » comme certains le préconisent va-t-il changer quelque chose ? Cela signifierait que les propriétaires de deux roues seraient prêts à changer de comportement. Pas sûr.

  • Vie associative

    La Maison des Associations du 9ème est ouverte depuis avril 2006. En mai 2007, Jérôme Jegou en a pris la direction après avoir passé 9 ans à la Maire du 3ème arrondissement où il a travaillé au service culture, évènements et communication. C’est un choix personnel qui l’a amené dans le 9ème. Déjà en contact avec le milieu associatif pour la réalisation de projets culturels dans le 3ème, Jérôme Jegou ne pouvait pas passer à côté du projet Maison des Associations tel qu’il se développe à Paris et s’impliquer encore plus dans le processus.

    o0o

    Paris Neuvième (PN) : une des priorités déclarée lors de l’ouverture de la Maison des Associations du 9ème était la mise en réseau des associations de l’arrondissement, qu’elles se connaissent mieux. Où en est-on ?

    Jérôme Jegou (JJ) : aujourd’hui la Maison des Associations du 9ème compte 100 inscrits contre 60 lorsque je suis arrivé en Mai. Le réseau prend petit à petit. Je souhaiterais, à partir de 2008, monter des rencontres thématiques inter-associatives (l’emploi, le sport, la culture, l’économie sociale, etc. ….). Le but est certes de créer un réseau dans le 9ème arrondissement mais encore faut il qu’il y est des associations inscrites à la Maison des Associations. Avant de créer un réseau, il faut avoir des inscrits. Ce que je veux, c’est faire connaître l’établissement et que ce lieu soit incontournable, que toutes les associations du 9ème se disent « notre référent, c’est la Maison des Associations ».

    Sur les 40 nouveaux inscrits depuis mon arrivée ici, 20% sont de nouvelles associations que nous trouvons chaque mois sur le Journal Officiel. Le reste, ce sont des associations existantes qui nous ont rejoints. Nous travaillons aujourd’hui sur un fichier de 400 associations dans le 9ème. Le but est qu’un maximum de ces associations nous rejoigne, qu’elles s’inscrivent à la Maison des Associations.

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