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Convivialité - Page 136

  • 18e : des rencontres artistiques à la Goutte d'Or

    Entre une bonne bouteille, des accessoires de mode et des tableaux, il doit y avoir place pour un peu de convivialité. C'est ce qui fait la différence à la Goutte d'Or, malgré tous les problémes.

    Ce week end, et on espère que la température le permettra, faites un tour dans le quartier à la recherche de ces lieux où des artistes vous attendent...vente Fanny Kachintzeff.JPG

    • Oliv Steen –Gravures-
    • Fanny Kachintzeff  -Bijoux, vêtements, accessoires de mode- à la « la cave de Don Doudine » 38, rue Myrha

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    • Bruno Pascal -Objets lumineux-
    • Valérie Buffetaud –Peinture-

    tous deux au 11, rue Richomme

    •  Echomusée au 21, rue Cavé

    SAMEDI 4 et DIMANCHE 5 DECEMBRE 2010

    De 14h à 19 h

  • Terrasses ouvertes et chauffage dispendieux

    Enfin une annonce de bon sens dans le difficile dossier des terrasses de cafés et restaurants. Au moins une….

    Ces jours-ci on a pu lire dans la presse (AFP, Libé, RMC.fr et 20 Minutes)  que la ville a l’intention d’interdire le chauffage au gaz en terrasse. Pourquoi, d’ailleurs, n’interdire que le gaz et non pas le principe de chauffer la rue ? En ces temps d’économie d’énergie, quelque soit sa provenance, il est bon de l’utiliser avec parcimonie. Or, comme le dit la Mairie de Paris, « Chauffer les petits oiseaux l’hiver n’est pas très utile. »

    Cette mesure s’inscrit dans le cadre d’un toilettage du règlement parisien des terrasses et étalages implantés sur le domaine public. Il date des années 1990 avec quelques modifications à la marge.

    P1030192 Polaires à Kreuzberg Berlin.JPG

     

    Les Berlinois, pas riches, mais pleins d’idées, proposent des plaids en polaire aux clients assis en terrasse. Et, croyez-le ou non, les couvertures restent sur le dossier des chaises, même après le départ des clients !

    Berlin Kreuzberg, Oppeiner Str. 19/09/2010

     

     

    De nombreuses associations parisiennes, réunies sous le label « Réseau Vivre Paris ! » cumulent leur énergie depuis plusieurs mois pour pousser l’Hôtel de Ville non seulement à les entendre quand elles affirment que les terrasses envahissent l’espace public parisien, et qu’elles génèrent des nuisances sonores qu’il est maintenant difficile de nier, mais aussi pour collaborer largement à la rédaction du nouveau règlement. Elles ont proposé un projet à la Ville et l’ont présenté tout récemment devant une salle pleine de Parisiens, très intéressés par la question.

    Ici on assiste à une lutte entre fêtards noctambules et riverains excédés de devoir attendre les premières heures de l’aube pour tenter d’ouvrir une fenêtre quand on a le malheur de les avoir au-dessus d’un café avec terrasses, ou même sans terrasse, comme certaines illustrations parues dans la presse et sur les blogs le démontrent. Ce n’est pas un conflit entre jeunes et vieux comme certains articles avaient tendance à le faire croire. Ce serait plutôt « couche tard » contre « lève tôt », or chacun ne choisit pas ses horaires de travail. Le phénomène n’est pas que parisien, même si, ici, la densité des immeubles exacerbe un peu plus les tensions.

    Les habitants proches d’une boîte de nuit ont toujours pesté contre les sorties tardives et bruyantes, c’était une heure difficile à passer. Là, on a plutôt à faire à une nouvelle habitude, celle de discuter en terrasse jusque tard dans la nuit, sans se soucier des voisins. Ajoutez à cela l'effet "interdiction de fumer à l'intérieur.".. Et les terrasses gagnent du terrain… Aucune autorité ne réussit à les endiguer. Il est vrai qu’il y a du chiffre d’affaires à réaliser sur le domaine public, car il n’est pas cher au mètre carré en regard du prix de la location d’un local fermé dans un quartier branché. Les protestations des riverains ne pèsent pas lourd dans la balance, les amendes de 35 euros non plus…

    Nous suivons le dossier grâce au très bon, très précis, travail de fond du Réseau Vivre Paris ! Dans notre quartier, ce ne sont pas tant les terrasses qui grignotent l'espace public que les étalages. Certes ils font moins de bruit... Mais qu'en est-il du respect des personnes à mobilité réduite ? Nous demandons le respect du schéma directeur d'accessibilité à la voirie voté en 2002. Simplement.

  • Vers une Charte du piéton ?

    Piétons, défendez-vous !

    A priori, les trottoirs ont été faits pour vous. Même si, comme ci-dessous sur la passage Paré-Patin, le piéton doit être très vigilent et s'attendre à tout moment à voir passer une voiture ou plusieurs... non autorisées, bien sûr! Rappelons que cet accès à Magenta n'a été conservé qu'à la demande de l'hôpital pour le passage des ambulances et des véhicules d'urgence.


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    Les trottoirs ne doivent pas devenir des passages dégagés pour les vélos ou les motos, quand la chaussée est encombrée. Ni des espaces à conquérir pour les restaurateurs ou les limonadiers en mal de surface utile ! Nous sohaitons donc que la Ville et les services qui en ont la charge demeurent vigilents vis à vis de ce problème.

    Aux temps anciens, tout le monde utilisait le même espace. Utilisait...? Partageait donc. Avec les rapports de force en vigueur à l'époque. Un gueux contre une calèche : on sait qui doit se ranger, dos au mur.

    Puis vint l'époque de la civilisation.... A quelle date apparait l'idée de trottoir ? Au moins, dans les agglomérations d'importance, car aujourd'hui encore, bien des villages et même les centres de certaines bourgades sont dépourvus de tels aménagements. Comme si le trottoir relevait, à la fois, du nombre de personnes amenées à y circuler - et qu'il est opportun de protéger - et des moyens financiers disponibles et mis en oeuvre.

    Quand donc est-il apparu ? Peu avant la Révolution, peut-on lire sous la plume de Julie de la Pattelière, pour Evene : cliquez. Le trottoir passe d'un lieu vulgaire, vil et commun, celui des pieds, de l'espace de la population qui marche, et n'a pas le statut de celui qui se déplace en voiture (à cheval), à un lieu qui gagne, avec la modernité, le label de zone préservée, zone sécurisée.  Soit un peu plus de deux siècles, avec une progression régulière, puis une détérioration de la situation récente et rapide, si l'on en croit nos amis du quartier des Halles (Accomplir), très en pointe sur ce sujet avec leur réseau Vivre Paris !

    Pour résumer, si le piéton ne valorise pas son espace, ne le défend pas, il le perdra. Pour vous en convaincre, lisez l'article posté en mai sur le blog de Bel AIr Sud (Paris 12e).

     

     

  • Bal du 13 juillet dans le 18e

    Bal du 14, euh... du 13 juillet dans le 18e

    C'est le vrai signal des vacances pour beaucoup, le bal du 14 juillet ! Ici, c'est le bal du 13. Ne chipotons pas.

    Action Barbès tire un peu sa flemme aujourd'hui et c'est dans son intégralité que nous vous restituons le texte de l'invitation de la mairie du 18e. Ils sont plus consciencieux, eux....  Nous avons ajouté quelques liens vers des sites intéressants : ce sera notre participation à la commémoration de 1860.

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    A l'occasion du 150e anniversaire de l'arrondissement, la mairie du 18e, en partenariat avec la mairie du 19e, vous propose un grand défilé le soir du 13 juillet qui se clôturera par un bal festif sur l'esplanade des jardins d'Eole.

    Ce défilé et ce bal sont organisés en partenariat avec le 19e arrondissement afin de célébrer le 150e anniversaire du rattachement de ces deux arrondissements à Paris.

    Rendez-vous à 18h30 place Charles Bernard (près de la rue du Poteau) pour un festival d'animations avec les percussions brésiliennes de Moleque de rua.

    Le petit train de Montmartre mènera le joyeux cortège jusqu'à l'esplanade des Jardins d'Eole (19-41 rue d'Aubervilliers) où un bal avec DJ Eve-Lys et Cirkël, les P'tits Poubots et les animations musicales des 18e et 19e !

    Sur place et jusqu'à minuit : danse, buvette, restauration, bonne humeur, etc...

     

     

    • A voir également une exposition originale de photographies de Montmartre à 360° exposées sur les grilles du Sacré-Cœur. L’artiste, Timothée Eisenegger, est un jeune photographe sorti major de sa promotion à l’école de photographie Icart Photo
    • Ne pas oublier que d'autres communes ont été rattachées à Paris en cette année 1860, et parmi celles-ci, Belleville l'insoumise, qui verra ainsi son territorie divisé. Parallèlement à l'histoire de Belleville, une exposition des oeuvres de Patrick Bezzolato est présentée à la Librairie photographique pour rendre hommage au grand photographe humaniste Willis Ronis (qui a habité cité Condorcet,  9e, pas trop loin donc...) ; expo jusqu'au 5 septembre.
    • Enfin un petit tour sur le blog ami de Bel Air Sud, 12e : à leur manière ils fêtent aussi le rattachement de leur quartier à Paris, en nous racontant un peu d'histoire, comment Paris est ainsi passé de 12 à 20 arrondissements. Cela ne vous évoque-t-il pas également le Grand Paris ou Paris Métropole ? Trouvé récemment un article des Echos qui rafraichit notre mémoire sur les enjeux, l'état des lieux et les clivages...

     

  • Voici venu le temps des fêtes de quartier...

    Dans le square d'Anvers, nous avons un kiosque à musique charmant, que l'on doit aux ateliers Bataillard, d'après un dessin du célèbre ferronnier d'art Raymond Subes (1891-1970). Il n'est pas très ancien : il a été réalisé en 1982.

    Le kiosque du square de Clignancourt dans le 18e arrondissement n'est pas très différent. Vous pourrez le constater si demain vous allez au concert vers 14 heures : voir l'affiche ci-dessous.

     

    Affiche Fête du 12 JUIN.JPG