Web
Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Quand "Paname" passait à la Goutte d'Or

Vous avez tous remarqué que notre blog ne propose plus un sujet par jour — ouvré ! — depuis que la pandémie perturbe notre activité associative. Et nous serions heureux si elle ne perturbait que notre activité associative ! Donc nous peinons parfois à vous proposer chaque jour un article. Plus de réunion publique, de rares réunions en ligne qui méritent vraiment un compte rendu exhaustif…

Aussi surfons-nous sur le net à la recherche de sujets qui puissent apporter un peu d’intérêt. Les devinettes confinées, comme les offres culturelles, théâtre capté, film, ont été des pis-aller durant ces derniers mois. Nous tentons de les rattacher à notre quartier et aujourd’hui nous vous proposons un reportage de France 3 tirée d’une série intitulée Paname, qui en serait à la sixième saison, et qui s’est penchée sur la Goutte d'Or en 2016. Peut-être connaissez-vous cette émission ? Elle est diffusée sur France 3 Ile-de-France les dimanches à 12 h 55. 

On retrouve notamment le Paris Print CLub qu’on avait soutenu en son temps, auprès de la mairie du 18e et d’Afaf Gabelotaud, adjointe chargée du commerce dans le 18e à l’époque, alors qu’ils cherchaient un lieu assez vaste où s’installer. Ils nous avaient été recommandés par Les Libraires Associés, cette antre magique de la rue Pierre L’ermite.

On y parle aussi de la rue Dejean, d’une boutique tenue par une Togolaise et sa fille, où l’on peut découvrir des trésors très recherchés par les gourmets connaisseurs des plats africains. Les remarques de l’épicière à propos des vendeurs à la sauvette recoupent assez bien l’exaspération des riverains… Ecoutez la bien.

La Brasserie de la Goutte d’Or ouvre ses portes au reporter et évoque les secrets de fabrication des différentes bières locales. Encore une réussite. Tout ne va pas si mal dans ce quartier ! 

La passage avec le bottier, dans son atelier, en présence de son apprentie, est touchant ; la transmission des métiers d’art n’est peut-être pas tout à fait perdue. 

Écrire un commentaire

Optionnel