« Il découvrit avec tendresse l’amour et les ouvriers des faubourgs parisiens dans Antoine et Antoinette, le film de lui que j’ai le plus aimé. Les rues du XVIIIe arrondissement au temps où régnait encore la disette, la mansarde et l’idylle d’un jeune couple (...), des notes simples et d’une grande poésie. Et puis une précision, une finesse dans chaque notation. La minutie de Becker lui faisait, à tout coup, trouver la note juste. »
C 'est ce qu'écrivait Georges Sadoul dans les Lettres françaises, 25 février 1960.

ANTOINE ET ANTOINETTE
FRANCE – 1947 – 1H18 - AVEC ROGER PIGAUT, CLAIRE MAFFEI, NOEL ROQUEVERT

Dans le cadre du CINÉ-CLUB JACQUES BECKER, ANIMÉ PAR FABIENNE DUSZYNSKI, enseignante à l'Université de Lille et membre du comité de rédaction de la revue Vertigo, nous vous proposons un retour dans l'environnement de notre quartier, dans la vie de ce jeune couple confronté aux difficultés de son temps.  Autre temps et autres difficultés. 

Bon dimanche.