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Suite des nouvelles des membres du bureau ^_^

A la tranquillité du Marais Poitevin, certains préfèrent la chaleur du golfe du Lion, côté Pyrénées. D'autant que la douceur de l'eau de la Méditerranée et la faible pluviométrie ne sont pas les seuls arguments qui peuvent attirer le Parisien en recherche de lieux de villégiature... 

Regardez ce joli plateau de crustacés, et imaginez le glou-glou délicat d'un petit vin frais de pays, tenez, un Picpoul par exemple. Pas ambitieux, pas cher, mais tellement gouleyant ! 

P1080709.jpg

 

Les huîtres de la Méditerranée tiennent la comparaison avec celles du bassin de Marennes Oléron, pas de problème. Celles-ci ont été achetées à Narbonne, et dégustées tout près pour ne pas risquer qu'elles se réchauffent !! 

Bonnes vacances à tous ceux qui en prennent, bon courage aux autres. 

Commentaires

  • Super intéressant.

    A quand la même chose à la Goutte d'Or, rue Riquet, Boulevard Ornano, Ney, ou bien rue Marx Dormoy ?

    http://www.lemonde.fr/campus/article/2015/07/28/a-la-blue-factory-incubateur-pour-jeunes-entrepreneurs-motives_4702118_4401467.html

    On se pose juste la question, alors que, justement dans les quartiers pauvres dans le 18eme et le 19eme des tas de gens ne partent pas ? Et que le numérique peut donner sa chance à tou(te)s

  • @whynot
    Toutes les bonnes idées ont leur place sur ce blog ! Aussi bien les coups de coeur des membres de la rédaction pour un restau qui leur a plu, que pour les conseils en start up de certains lecteurs. L'important est d'y mettre un peu d'humour.
    Evidemment "des tas de gens dans les quartiers pauvres ne partent pas"... mais qui vous dit que la majorité d'entre nous partaient à l'âge de ceux qui ont envie de monter leur entreprise ?

    Pour quitter ce ton de reproche, voici un extrait de l'article dont vous donnez le lien qui laisse penser que les petits français ne sont pas si mal lotis que vous continuez à vouloir nous en persuader
    """
    En s’appuyant sur les possibilités offertes par le numérique, il est plus facile d’imaginer, développer et concrétiser ses projets. L’époque où il fallait investir dans des infrastructures lourdes est révolue, et le crowdfunding permet de mobiliser des sommes importantes plus rapidement. Résultat, la France est le pays européen ayant bénéficié du plus de levées de fonds au premier semestre 2015, et les start-up européennes bénéficient de 86 % d’investissements en plus que l’an passé, selon des chiffres livrés par le quotidien Les Echos le 24 juillet. """

  • Je suis totalement d'accord avec vous et vous remercie pour votre ouverture d'esprit.
    Ce que je veux dire est difficile à exprimer car cela sort d'un conflit gauche/droite traditionnel. Ce que je veux dire c'est qu'habitant un quartier très pauvre du nord de Paris, j'aimerais que les hommes politiques saisissent le numérique comme une opportunité et non une menace.

    Cf cet excellent édito.
    http://www.huffingtonpost.fr/thierry-keller/marine-le-pen-en-short-dans-une-google-car_b_7808324.html

  • PS: tout petit détail que ne dit pas l'article du Monde (que j'ai néanmoins beaucoup aidé): la France est certes championne en nombre de levées de fond mais pas en montant levé, la nuance est de taille.

    PS2: pourquoi me permet-je d'insister sur les start-ups ?
    - elles permettent, pour certaines d'entre elles, d'apporter des nouvelles solutions à des problèmes que la France n'arrive pas à résoudre (Big Data pour une meilleur médecine, et peut-être réduction du déficit..)
    - e-learning, Mooc pour la transmission du savoir,
    -ateliers de Maker pour la réindustrialisation, et la baisse de cout énergétique sur des produits importés à l'autre bout du monde...

    Ce que j'en retire c'est que nos responsables devraient être curieux de tout cela, nous en parler pour nous tirer vers le haut.

    Enfin, cela permettrait d'être utile pour une population jeune (donc plus ouverte d'esprit/technologique...) et cela crééerait même des richesses dans le coin: de la même manière qu'il existe déjà des coopératives d'achat local (vive le collaboratif...), ils pourraient y avoir des ateliers de fabrications de makers dans nos rues.

    Cela inspire t-il un responsable politique parmi les lecteurs ? (c'este nthousiasmant ce qui se passe en ce moment, mais malheureusement je pense que personne ne répondra car les hommes politiques en France n'aiment pas la technologie et considèrent que parler d'économie est dégradant pour je ne sais pas quelle raison)

    Merci encore et vive le futur que nous inventerons ensemble !

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