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Un polar recommandé par la Préfecture de police

On ne reçoit pas tous les jours des conseils de lecture dans le bulletin d’information de la Préfecture de police. Une fois n’est pas coutume. Le Point Info de la Préfecture de police de ce 23 novembre était porteur d’une critique littéraire et se fasait l’écho de la remise du Prix du Quai des Orfèvres 2011. Nous aussi, à Action Barbès, nous avons eu nos coups de cœur polar  comme en témoignait notre soirée littéraire de mars dernier, avec Marc Villard.

PHOTOS --- book_cover_du_bois_pour_les_cercueils_113819_250_400.jpgQue disait le bulletin de la PP sur son Prix ? Voyez vous-même : « Claude Ragon a été proclamé aujourd’hui, par le préfet de police, Michel Gaudin, lauréat du 64e prix du Quai des Orfèvres pour son roman Du bois pour les cercueils.

A la manière d’un Maigret, un roman d’ambiance, les coulisses d’une usine de transformation de bois, le climat du Jura en hiver, des habitants durs à la tâche et pas très causants… L’enquête des gendarmes n’ayant pas convaincu, le commissaire la reprend avec ses méthodes, à l’ancienne, sur le terrain plutôt que dans les laboratoires de la police scientifique, dans le bruit des ateliers, les odeurs de colle et les courants d’air…

Fondé en 1946 par Jacques Catineau, ce prix couronne chaque année, sur manuscrit anonyme, un roman policier français, décrivant les modalités de fonctionnement de la police et de la justice française.
Le jury du prix du Quai des Orfèvres est placé sous la présidence du directeur de la police judiciaire de la préfecture de police. »

L’ouvrage récompensé par les membres du jury est publié par les éditions Fayard, avec un tirage de 50.000 exemplaires.

Quelques mots sur l’auteur, grâce au communiqué de l’AFP : Claude Ragon, né à Madrid, marié et père de deux garçons, est un ingénieur retraité de l'industrie du bois dans laquelle il a travaillé de 1965 à 2002.
Il a vécu jusqu'à l'âge de 20 ans en région parisienne et vit aujourd'hui à Seyssel une commune limitrophe de l'Ain et de la Haute-Savoie où il pratique la marche, le cyclisme et la lecture.
Il a publié un premier roman il y a quelques années chez un petit éditeur, "L'assassin n'aimait pas les livres", et a tenté six fois, a-t-il dit, sa chance pour le prix quai des Orfèvres.

La tenacité a du bon quelquefois...

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