Comme le quotidien Libération l'annonçait en décembre, Paris est désormais placé sous haute vidéosurveillance.
Nous avons dénoncé sur ce blog - et dans nos bulletins d'information, largement diffusés dans notre quartier jusqu'en juin dernier, ce procédé hypocritement appelé vidéoprotection aussi bien par la Préfecture de Police que par la mairie de Paris, d'abord réticente puis convertie.
Effet pervers de la situation, l'incident qui s'est produit dimanche matin au coin des rues Rambuteau et Beaubourg relaté par le quotidien gratuit Métro : la police intervient sur un stand du Front de Gauche
Photo : Philippe Gimenez/CC
Les vidéocaméras ont-elles un regard discriminant ? Nous allons dire qu'elles sont débutantes, il faut qu'elles prennent leurs marques et apprennent à distinguer un militant politique d'un pick pocket ! Période probatoire...